Céline Dion avoue utiliser des oignons pour faire pleurer ses fans

Sale temps pour Céline Dion. La chanteuse québécoise, mondialement appréciée pour ses chansons romantiques, a reconnu utiliser des oignons pour faire pleurer les spectateurs durant ses concerts. Un subterfuge visant à créer un semblant d’émotion qui risque de porter un coup à sa réputation.

Une analyse ADN d’un cheveu de la chanteuse a mis à jour l’impensable : Céline Dion serait elle-même composée à 80% d’oignon.

Son épicier donne l’alerte

C’est Rolland Hubert qui remarque le premier que «quelque chose ne tourne pas rond ». Cet épicier aurait fourni en 5 mois l’équivalent de 150 000 euros d’oignons à la chanteuse, une quantité « bien trop élevée pour être honnête ». Selon le bloc-note de comptabilité du commerçant, Céline Dion achète chaque jour plusieurs centaines de kilos d’oignons ainsi qu’une boîte de tic-tac à l’orange, « sûrement pour détourner l’attention ». Une volonté de faire pleurer confirmée par les vidéos de surveillance de l’épicerie où la chanteuse se frotte en cachette les oignons sur les yeux, «comme si elle voulait les tester», commente Rolland.

Une assistante raconte son calvaire

C’est en cherchant dans le passé de Céline Dion que nous sommes entrés en contact avec Claudette, assistante personnelle de la diva de 1988 à 1995. « Elle me forçait à couper plusieurs tonnes d’oignons avant chaque concert » explique-t-elle avant d’ajouter qu’elle devait même continuer pendant les concerts, cachée dans le public. Des conditions de travail inhumaines qui lui ont infligé une double conjonctivite à vie ainsi que la perte de son index gauche. Son pire souvenir ? « L’Olympia 1994 ». Pour l’occasion, la dame âgée aujourd’hui de 77 ans a dû parcourir à pieds la pampa argentine à la recherche d’une variété rarissime. Baptisée « Onion del sangre », une infime quantité suffit à faire pleurer 50 personnes pendant 3 semaines.

L’affaire est désormais entre les mains de la police canadienne, qui affirme avoir saisi 40 kilos d’échalote fraîche dans la loge de l’artiste à Las Vegas. Selon Erwan McCallister, responsable de la brigade judiciaire des moeurs lacrymales de Californie, «ces échalotes et ces oignons viennent de quelque part». Et d’évoquer du bout des lèvres un «réseau mondial», dont la chanteuse Adele «serait sans doute le chef».

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