Edito : le Bilboquet Magazine fête ses 1 an, 3 mois et 9 jours et part en vacances

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<p>Lorsque nous écrivions l’édito de création du Bilboquet Magazine, en ce 17 Avril 2012 (ici), nous ne pensions pas que 1 an, 3 mois et 9 jours plus tard nous écririons un édito fêtant nos 1 an, 3 mois et 9 jours. Et pourtant, c’est arrivé, ce qui démontre que dans la vie, des choses arrivent parfois.</p>
<p>On avait prévu ce montage il y a 3 mois mais on a oublié de le publier.</p>
<p>La route n’a pas été tortueuse et semée d’obstacles, et comme nous en affirmions l’intention dans notre premier édito, nous avons obtenu un succès relativement immérité et sans faire beaucoup d’efforts. Nous nous sommes au contraire amusés pendant tout ce temps, et nous nous sommes aussi amusés de voir les lecteurs s’amuser de notre amusement. L’ouverture d’une page sur Facebook après 6 mois d’anonymat relatif, et l’émergence sur le devant de la scène de confrères plus médiatiques aura sans doute contribué à dévoiler nos histoires aux yeux d’un lectorat grandissant, à la recherche précisément de ce que nous avions décidé de créer un peu par hasard. Nous ne comprenons pas tout à fait bien pourquoi, mais en tout cas ce lectorat nous a aussi donné envie d’en faire plus, de perdre encore plus notre temps à écrire et produire – sur les heures de notre vrai travail, après des soirées alcoolisées ou dans des halls d’aéroport Ryan Air – pour toujours occuper celui des autres.</p>
<p>Notre volonté première aura toujours été d’insuffler un peu d’imaginaire et de simplicité dans le monde cynique de l’Internet humoristique, que ce soit en inventant un cuisinier fabricant de Dragibus noirs, la mort du bonhomme de Cétélem, la suppression du lundi par la Turquie ou encore un garçon un peu simple qui tue son frère jumeau au lieu de se suicider. Beaucoup prêtent attention à la forme que nous avons choisi pour véhiculer cet imaginaire : le style journalistique. Ce qui nous intéresse le plus, c’est le fond : ce sont les histoires. Si nous ne sommes que bien peu de rédacteurs avec trop de choses à faire, nous avons l’envie de développer notre petit univers du Bilboquet Magazine, et les discrètes explorations de rubriques de style et format différent devraient se poursuivre dans le futur. Parce que nous ne nous espérons être retenus comme autre chose qu’un site « info-lol » : c’est notre nouveau challenge.</p>
<p>En attendant, le Bilboquet ralentira son activité en Août puisque comme 97% des Français (sondage Bilboquet Magazine), nous comptons prendre du repos durant cette période. Nous devrions trouver la force néanmoins de publier un nombre d’articles indéterminé durant le mois !</p>
<p>Merci de nous lire.</p>
<p>Bilboquement vôtre,</p>
<p>La Rédaction.</p>
<p>P.S : Cet édito est dédié, encore et toujours, à la mémoire de Michel Boujenah.</p>
<p>P.P.S : section bonus on se fait plaisir. Pour une fois, profitons-en pour remercier tous les aventuriers qui ont bricolé sur ou avec le radeau Bilboquet depuis 1 an, 3 mois et 9 jours : Rose Well, François-Chaussette-Pelle à neige, Nicolas Pâtissier, Ludwig B., Valentine, Bester, les relectures et conseils d’LNG, Anaïs et Marianne et tous ceux qui ont soumis des articles que nous n’avons jamais publié (on est désolés encore une fois).</p>

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